D'un côté Barabbas, un assasin qui attendait en prison le jour de son exécution ; de l'autre Christ, le Fils de Dieu venu sauver les hommes. Il fallait choisir entre les deux.

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la croix

4 mars

Un choix catastrophique

L'un serait emmené au supplice, l'autre jouirait de sa liberté sans qu'aucune condition lui soit imposée pour sa conduite à venir. Pilate, le gouverneur, s'adressant à la foule lui demande : "Lequel des deux voulez-vous que je vous relâche, Barabbas ou Jésus qui est appelé Christ ?" Ils répondent d'une seule voix : "Barabbas". Pour dissiper toute équivoque, Pilate ajoute : "Que dois je donc faire de Jésus, qui est appelé Christ ?" Ils disent tous : "Qu'il soit crucrifié !" Pilate, prenant de l'eau, se lave les mains devant la foule, déclarant : "Je suis innocent du sang de ce juste ; vous, vous y aviserez." Et le peuple répond par cette parole effrayante : "Que son sang soit sur nous et sur nos enfants !" (Matthieu 27, 21 - 25). Ils avaient rejeté son amour, maintenant ils se moquent de son jugement.

La décision est prise : Barabbas est aussitôt relâché et, avant que le soleil soit couché, le corps de Jésus, crucifié entre deux brigands, est déposé dans la tombe de Joseph d'Arimathée. Mais Dieu va intervenir. Le troisième jour, Jésus ressuscite et se présente vivant au milieu de ses disciples rassemblés.

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