Agé de trente ans à peine, Alfred de Musset avait écrit, comme une confidence faite à lui-même, un sonnet qu'on publia après sa mort en l'intitulant : "Tristesse". Usé par toutes sortes d'excès, il avouait : "J'ai perdu ma force et ma vie ..."
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13 août La gloire de l'Eternel sera révélée, et toute chaire ensemble la verra ; car la bouche de l'Eternel a parlé. Esaïe 40, 5 Dieu parle, il faut qu'on lui réponde Il mourut sept ans plus tard. Comment avait-il cherché cette vérité qu'il déclare éternelle, dans un de ses vers, ajoutant : " ... Et ceux qui se sont passés d'elle ici-bas ont tout ignoré." ? Il dit encore : "Dieu parle, il faut qu'on lui réponde". DIEU PARLE ! Le Psaume 19 nous dit de quelle manière il s'adresse aux hommes. D'abord par la voix de la création (v. 1 à 6), qui affirme sa puissance autant que sa sagesse. Ensuite par celle de l'Ecriture inspirée (v. 7 à 11), qui réjouit le coeur, illumine les yeux. L'auteur de l'épître aux Hébreux, qui cite tant de fois le Saint Livre, met tout homme en garde contre le danger qu'il y aurait à se détourner de "Celui qui parle ainsi depuis les cieux" (Hébreux 12, 25). Mais, dès le début de l'épître (1, 1 & 2), il avait dit beaucoup plus : A bien des reprises et de bien des manières Dieu avait autrefois parlé par les prophètes ; "à la fin de ces jours-là, il nous a parlé dans le Fils". Ce Jésus est l'artisan de la création universelle et plus encore d'une création nouvelle (2 Corinthiens 5, 17-21) quand, sur la croix du Calvaire, il a "fait par lui-même la purification des péchés" (Hébreux 1, 3). |
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