Au cours de la transhumence annuelle vers le vallon de Chabrière, dans les Alpes-de-Haute-Provence, un berger de 66 ans s'est noyé accidentellement dans l'Ubaye.
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23 août Moi, je suis le bon berger ; le bon berger laisse sa vie pour les brebis. Jean 10, 11 Ainsi dit le Seigneur, l'Eternel : ... Je rechercherai mes brebis et j'en prendrai soin. Comme un berger prend soin de son troupeau ... la perdue, je la chercherai, et l'égarée, je la ramènerai, et la blessée, je la banderai, et la malade, je la fortifierai. Ezéchiel 34, 11, 12 & 16 Pour sauver sa brebis perdue Plongeant dans la rivière pour rattraper une de ses brebis égarée du troupeau, il a été emporté par les eaux. Son corps a été retrouvé, inanimé, après plusieurs heures de recherche. Tout permet de penser que le berger et la brebis se sont noyés ensemble. Ce fait divers ne nous fait-il pas penser au sacrifice du Seigneur Jésus qui a donné sa vie pour chacun de nous ? Il déclare : "Mes brebis écoutent ma voix, et moi je les connais, et elles me suivent, et moi, je leur donne la vie éternelle, et elles ne périront jamais ; et personne ne les ravira de ma main" (Jean 10, 27 & 28). Quand on regarde un troupeau de moutons, on a l'impression que toutes les bêtes sont semblables et font la même chose. Mais un berger vous dira qu'il connaît chaque animal individuellement, que chacun a son caractère. Et il sait donner des soins personnalisés. Ainsi, notre Seigneur Jésus Christ a aimé tout homme pécheur au point de mourir pour lui sur la croix. La parabole de la brebis perdue en Luc 15 nous montre avec quel dévouement le bon berger se met à la recherche de celle-ci et, plein de joie, la ramène à la bergerie. Pouvez-vous vous reconnaître, d'abord comme cette brebis perdue et retrouvée, ensuite comme l'objet des soins attentifs de Jésus le bon Berger ? |
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