11 avril

Tu t'inquiètes et tu te tourmentes de beaucoup de choses ; mais il n'est besoin que d'une seule. Luc 10, 41 & 42

Je fais une chose : oubliant les choses qui sont derrière et tendant avec effort vers celles qui sont devant, je cours droit au but pour le prix de l'appel céleste de Dieu dans le Christ Jésus. Philippiens 3, 14

Une seule chose

Mais il ajouta : "Je sais une seule chose, c'est que j'étais aveugle et que maintenant je vois". Heureuse certitude : nous étions perdus et grâce au sacrifice de Christ, en croyant en lui, nous sommes sauvés.

Marthe était une personne très active, mais sa soeur Marie savait qu'à ce moment-là il n'était besoin que d'une seule chose : s'asseoir aux pieds de Jésus pour écouter sa parole (Luc 10, 38 - 42). Aujourd'hui encore c'est "la bonne part" !

L'apôtre Paul avait beaucoup de titres à faire valoir, mais "à cause de Christ", il les a regardés comme une perte. Il pouvait écrire aux Philippiens : "Je fais une seule chose : oubliant les choses qui sont derrière et tendant avec effort vers celles qui sont devant, je cours droit au but" (Philippiens 3, 14). Que de valeurs et avantages humains qui, pour le croyant qui s'y attacherait, deviendraient une perte !

David, au Psaume 27, demande une chose à l'Eternel et la recherchera, tant elle a du prix pour lui : "C'est que j'habite - dit-il - dans la maison de l'Eternel tous les jours de ma vie". Quelle demeure que celle-là !

Avoir l'assurance de son salut, écouter la Parole du Seigneur, courir droit au but céleste et demeurer dans la présence de Dieu, quel merveilleux programme !